L'ile de la Réunion
avec guetamoin
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SAINT-JOSEPH (97480)
Maire : Patrick Lebreton
Population : 37 517 habitans en 2018
Superficie : 178,50 km2
Nom des habitants : Saint-Joséphois
Population : 37 517 habitans en 2018
Superficie : 178,50 km2
Nom des habitants : Saint-Joséphois
baron de Souville.
Elle est coupée par la rivière des remparts.
Elle fut nommée commune en 1785. Le botaniste réunionnais Joseph Hubert quitte Saint-Benoît. La culture est en difficulté, il favorise la culture du café des épices qui selon lui semble, être le plus adaptée.
Elle fut nommée commune en 1785. Le botaniste réunionnais Joseph Hubert quitte Saint-Benoît. La culture est en difficulté, il favorise la culture du café des épices qui selon lui semble, être le plus adaptée.
Il a commencé à planter le café
et la muscade. Un peu plus tard, il décide d'intégrer le curcuma et
l'ayapana.
Sa plus grande motivation est de cultivé le girofle et des produits de grande valeur,
sous faible volume aisément transportable à tête d'hommes.
Par le manque de moyen de transport, la ville est en grande difficultée par son isolement.
Le chemin de fer arrivait jusque Saint-Pierre.
Le sol à Saint-Joseph est très riche, un très fort développement agricole se met en place. La famille Kervéguen y implante usines sucrières, distilleries et féculeries. Le Maire Adolphe Bourgine exploite la canne à sucre au début du XIXème siècle et profite de sa richesse et jusque dans les années 1860.
Avec la crise de la canne à sucre, la ville s’enfonce à nouveau dans un fond sommeil et reste isolé du reste de l’île. Il faudra attendre la fin de la seconde Guerre Mondiale pour que Saint-Joseph retrouve son dynamisme.
A l'élection de Raphaël Babet en 1947 la ville de Saint-Joseph reprend son souffle. Il met en place des moyens d'équipements public et restructure la ville. Il fit construit le lycée agricole (le 1er de l'île) ainsi que l'hopital et, celui ci était aussi le seul étblissement autonome à l'époque. lL restera maire pendant dix années.
La paroisse de Saint-Joseph a été crée en 1795, une église en bois est édifiée près de l'embouchure de la rivière des Remparts. Une nouvelle église remplaçant la première construction de bois est bâtie à l'emplacement actuel. Elle est consacrée en 1851, partiellement détruite par le cyclone de 1881, et reconstruite. Les quartiers de Vincendo et les lianes créent des paroisses indépendantes en 1859 et 1862.
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Le sol à Saint-Joseph est très riche, un très fort développement agricole se met en place. La famille Kervéguen y implante usines sucrières, distilleries et féculeries. Le Maire Adolphe Bourgine exploite la canne à sucre au début du XIXème siècle et profite de sa richesse et jusque dans les années 1860.
Avec la crise de la canne à sucre, la ville s’enfonce à nouveau dans un fond sommeil et reste isolé du reste de l’île. Il faudra attendre la fin de la seconde Guerre Mondiale pour que Saint-Joseph retrouve son dynamisme.
A l'élection de Raphaël Babet en 1947 la ville de Saint-Joseph reprend son souffle. Il met en place des moyens d'équipements public et restructure la ville. Il fit construit le lycée agricole (le 1er de l'île) ainsi que l'hopital et, celui ci était aussi le seul étblissement autonome à l'époque. lL restera maire pendant dix années.
La paroisse de Saint-Joseph a été crée en 1795, une église en bois est édifiée près de l'embouchure de la rivière des Remparts. Une nouvelle église remplaçant la première construction de bois est bâtie à l'emplacement actuel. Elle est consacrée en 1851, partiellement détruite par le cyclone de 1881, et reconstruite. Les quartiers de Vincendo et les lianes créent des paroisses indépendantes en 1859 et 1862.
