L'ile de la Réunion

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SAINT-BENOIT (97470) Sous-Préfecture

 


Maire : Patrice Selly
Population : 32 274 habitans en 2018
Superficie : 229,61 km2
Nom des habitants : Les Bénédictins
pluviométrie généreuse la culture de la canne à sucre s'imposait.

En 1720, ayant trouver de la la bonne terre, elle est très fertile et la culture du café moka démarre. Le nom de Saint-Benoît apparait en 1730 lors de la création de la paroisse, du nom du gouverneur Pierre-Benoit Dumas.
 

En 1775, Joseph Hubert tente la culture des épices et le premier goroflier est planté à Saint-Benoît et à l'Ile Bourbon. A la Fin du XVIIIè Siècle, la Garde Nationale de Saint-Benoît, plus importante que celle de Saint-Denis, se distingue à Sainte-Rose lors du débarquement anglais. 

En 1815, limitée par la rivière de l'Est, Sainte-Rose se détache de Saint-Benoît. Un pont est construit sur la rivière des marsoins. La culture de la canne à sucre prend de l'empleur à Saint-Benoît, et là, Saint-Benoît devient l'un des quartiers les plus importants et les plus riches de l'île. En 1852, Hubert Delisle, originaire de Saint-Benoît, devient gouverneur.

En 1882, une ligne de chemin de fer, aujourd'hui disparue, reliait Saint-Benoît à Saint-Denis et , de là, aux communes de la côte Ouest jusqu'à Saint-Pierre. Saint-Benoît était le terminus du chemin de fer réunionnais.

Les limites de la commune seront définitivement tracées au XIXè siècle. Cependant, un incendie spectaculaire détruisit quasiment tout le centre ville qui fut reconstruit par la suite. Parmi les monuments ayant survécu à ce désastre, l'église Sainte Anne qui dont la construction s'acheva en 1946.

Les Bassins, les cascades, les forêts primaires et tropicales avec leurs espèces végétales et animales endémiques, les larges et vastes étendues sucrières font la richesse de Saint-Benoît.

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