en 1704, elle devient section administrative de la commune de Saint-Benoît en 1733.
Depuis 1771 son développement économique est le plus fort de l’île au début du XIXème siècle, et après l’abolition de l’esclavage en 1848, de nombreux travailleurs engagés d’origine

 
indienne viennent y trouver du travail.

Grâce aux nouvelles voies rapides la ville de Saint-André est à 15 minutes du chef-Lieu, Saint-Denis, ce qui explique la croissance de la population de la commune. La commune de Saint-André est l'une des plus peuplées de La Réunion.

Etant donné la très forte concentration de travailleurs immigrés indiens qui furent amenés. La ville de Saint-andré est le berceau et la culture tamoule de La Réunion.On trouve à Saint-André une abondance de temples, et des cérémonies Tamoules très hautes en couleurs.

Après l'incendie de la chapelle en bois construite en 1750 par les habitants de SAINT-ANDRE, la première église a été construite en 1752 puis rasée en 1795 dû à un tremblement de terre et à la révolution. La paroisse reste sans église et curé jusque l'arrivé du père Minot en 1817. Une deuxième église est construite en 1821 et bénie le 30 novembre 1821. Monseigneur Desprez premier évèque de la colonie l'a consacrée en juin 1852. Des vents violents viennent l'endommagée en 1944, 1945 et 1948. Dix ans plus tard elle est rénovée et agrandie. L'inauguration a eu lieu en octobre 1963.

En 1805 Francois Xavier Bellier Monrose fait construire l'usine de Bois Rouge. Sa construction était particulièrement destinée à la distillation du rhum. Deux ans aprés sort un décret qui met fin à la distillation et l'usine devient la première usine sucrière de l'île. C'est seulement en 1996 que la distillation du rhum est à nouveau autorisé. En 1992 l'usine Bois-Rouge est la seule usine capable de transformer la bagasse en électricité.